Addendum à mes pensées du 25 septembre.
J'écrivais hier à propos de la nécessité d'une mise en avant de la libido dominandi pour la conscience de soi dans l'exercice de sa discipline intérieure. J'évoquais qu'il s'agit là d'une nouvelle ouverture dans les papiers de mon pupitre. Pupitre sur lequel je laisse toujours ouverts les dossiers des textes de Blumenberg que je traduis fort laborieusement depuis l'allemand, car j'aime garder les traces des passages que j'ai traversés dans la langue originale. J'estimai donc, hier soir, que je laissais ouvert un nouvel horizon sur lequel je n'étais jamais venu, et je quittais mon bureau pour aller regarder un film dont je parle hâtivement après — puisque tout ce que je fais, dans les périodes d'inspiration de mon esprit, se lie en une seule activité monstrueuse . Je réalisai ce matin, à la relecture, que je n'avais pas du tout touché les berges de l'idée vers laquelle je me dirigeais. J'ai lentement dérivé, un peu comme...